terça-feira, 28 de junho de 2011

Littérature Antillaise

Littérature Antillaise

Jean Paul Sartre

  "L'homme est condammé à être libre"
Jean Paul Sartre est né à Paris le 21 Juin, 1905. Son père est mort deux ans plus tarde et sa mère, Anne-Marie Schweitzer, s'installe à Meudon, à la périphérie de la capitale,afin de vivre dans la maison de Charles Schweitzer, grand-père maternel de Sartre. À la mort de son père, a écrit plus tard: "C'était bonne ou mauvais? Je ne sais pas,mais je volontiers approuver le verdict d'un éminent psychanalyste:. Je n'ai pas de surmoi "
À 19 ans, en 1924, il rejoint le cours de philosophie de l'Ecole normale où les classessont très intéressés par Alain, qui a beaucoup parlé de la liberté. Dans l'écolenormale, il a rencontré Simone de Beauvoir, un jeune homme qui a dit que comportéssoin de lui. Depuis lors, sont restés ensemble.
Sartre servi dans l'armée, a obtenu une chaire dans une école de philosophie, écritdes romans, a été très intéressé par les théories de l'existentialisme Martin Heideggeret Karl Jaspers (1883-1969) A partir de ces auteurs, Sartre a été prise à l'œuvre deKierkegaard (1813-1855) . Sur la base de ces références primaires, Sartre a développé sa propre version de la philosophie existentialiste.
Basé principalement sur ​​la phénoménologie de Husserl et de «Etre et Temps»Heidegger, l'existentialisme de Sartre cherche à expliquer tous les aspects de l'expérience humaine. La plupart de ce projet est dans ses deux grands livres de philosophie: Être et le Néant et la Critique de la raison dialectique.
Sartre définit l'être: En-soi et pour soi. Il croyait aussi que l'homme est libre etresponsable de tout ce qu'il fait. L'idée de liberté est passée comme une peine,"L'homme est condamné à être libre." La liberté se réalise dans l'engagement qui permet la rupture, l'ouverture dans le champ des possibles.

L'être et le Néant
L'Être et le Néant est un essai d'ontologie phénoménologique de Jean-Paul Sartre publié en 1943. L'importance du libre choix , conséquence de l'existentialisme athée, et cause de la responsabilité (" l'existence précède l'essence "). Sartre fait la distinction entre" l' être pour soi " (l'homme conscient de son existence et de sa liberté), et "l'être en soi" (les animaux, la nature, les objets non conscient d'eux même) et "l'être pour autrui" (l'homme conscient qui se définit par rapport aux autres).
" L'homme est condamné à être libre" c'est la idée plus interessant du libre.
   

domingo, 26 de junho de 2011

Jean-Jacques Rousseau

Philosophe occidental
Époque moderne Des lumières
Pastel de Maurice Quentin de La Tour, Jean-Jacques Rousseau, en 1753, (alors âgé de 41 ans)



Jean-Jacques Rousseau, né le 28 juin 1712 à Genève et mort le 2 juillet 1778 à Ermenonville, est un écrivain, philosophe et musicien genevois de langue française.
Il est l'un des plus illustres philosophes du siècle des Lumières et l'une des influences intellectuelles connues de la Révolution française. Tous se réclament de lui. Les révolutionnaires, d'un extrême à l'autre, prétendent « ne marcher que le Contrat social à la main ». Mais paradoxalement, des théoriciens de la contre-révolution (Joseph de Maistre, Louis-Gabriel de Bonald) se réclament eux aussi de Rousseau. Il était considéré par Arthur Schopenhauer comme le « plus grand des moralistes modernes ». Schopenhauer disait : « Ma théorie a pour elle l'autorité du plus grand des moralistes modernes : car tel est assurément le rang qui revient à J.-J. Rousseau, à celui qui a connu si à fond le cœur humain, à celui qui puisa sa sagesse, non dans des livres, mais dans la vie ; qui produisit sa doctrine non pour la Chaire, mais pour l'humanité ; à cet ennemi des préjugés, à ce nourrisson de la nature, qui tient de sa mère le don de moraliser sans ennuyer, parce qu'il possède la vérité, et qu'il émeut les cœurs. Ses travaux ont influencé grandement l'esprit révolutionnaire français. Il est particulièrement célèbre pour ses travaux sur l'homme, la société ainsi que sur l'éducation. La philosophie politique de Rousseau se situe dans la perspective dite contractualiste des philosophes britanniques des XVIIe et XVIIIe  siècles, et son fameux Discours sur l'inégalité se conçoit aisément dans la perspective d'un dialogue avec l'œuvre de Thomas Hobbes.


 Les grands principes de la philosophie rousseauiste:

L'amour
Le bonheur
Le droit
L'autorité
La fin de tout système de législation
L'égalité
La justice
La liberté
l'éducation
La morale
L'apparence : les parents corrompent l'esprit de leur enfant
L'authenticité
La conscience
L'homme naît naturellement bon, c'est la société qui le corrompt
La religion

Marcel Proust

Valentin Louis Georges Eugène Marcel Proust, né à Auteuil le 10 juillet 1871et mort à Paris le 18 novembre 1922, est un écrivain français, dont l'œuvre principale s'intitule À la recherche du temps perdu.

Marcel Proust naît dans le quartier d'Auteuil (actuellement dans le 16e arrondissement), dans la maison de son grand-oncle maternel, Louis Weil, au 96, rue La Fontaine. Sa mère, née Jeanne Weil, fille d'un agent de change d'origine juive alsacienne, lui apporte une culture riche et profonde. Elle lui voue une affection parfois envahissante. Son père, le Dr Adrien Proust, fils d'un commerçant d'Illiers (enEure-et-Loir), professeur à la Faculté de médecine de Paris après avoir commencé ses études au séminaire, est le premier grandhygiéniste français, conseiller du gouvernement pour la lutte contre les épidémies. Marcel est fragile et le printemps devient pour lui la plus pénible des saisons. Les pollens libérés par les fleurs dans les premiers beaux jours provoquent chez lui de violentes crises d'asthme. À neuf ans, alors qu'il rentre d'une promenade au Bois de Boulogne avec ses parents, il étouffe, sa respiration ne revient pas. Son père le voit mourir. Un ultime sursaut le sauve. Voilà maintenant la menace qui plane sur l'enfant, et sur l'homme plus tard : la mort peut le saisir dès le retour du printemps, à la fin d'une promenade, n'importe quand, si une crise d'asthme est trop forte.est baptisé à l'église Saint-Louis-d'Antin à Paris. Or la Commune fait rage à Paris en mai 1871. " Peu avant la naissance de Marcel Proust, pendant la Commune, le docteur Proust avait été blessé par la balle d'un insurgé, tandis qu'il rentrait de l'hôpital de la Charité. Madame Proust, enceinte, se remit difficilement de l'émotion qu'elle avait éprouvée en apprenant le danger auquel venait d'échapper son mari. L'enfant qu'elle mit au monde bientôt après, naquit si débile que son père craignit qu'il ne fût point viable. On l'entoura de soins; il donna les signes d'une intelligence et d'une sensibilité précoces, mais sa santé demeura délicate." Wikipedia.

Quelques citations de Proust


"Un changement dans le temps est suffisant pour recréer le monde et nous-mêmes. "
"Un milieu à la mode est celui dans lequel l'opinion de tout le monde est constitué de l'avis de tous les autres. A tous une opinion différente? Ensuite, c'est un milieu littéraire. "
"Une idée puissante communique certaines de ses forces à celui qui le défis. "

"Une seule femme aime rarement suffit pour tous nos besoins, afin que nous la tromper avec une autre dont nous n'aimons pas. "



 *Amanda Vitória~

Marcel Proust

Valentin Louis Georges Eugène Marcel Proust, né à Auteuil le 10 juillet 1871et mort à Paris le 18 novembre 1922, est un écrivain français, dont l'œuvre principale s'intitule À la recherche du temps perdu.

Marcel Proust naît dans le quartier d'Auteuil (actuellement dans le 16e arrondissement), dans la maison de son grand-oncle maternel, Louis Weil, au 96, rue La Fontaine. Sa mère, née Jeanne Weil, fille d'un agent de change d'origine juive alsacienne, lui apporte une culture riche et profonde. Elle lui voue une affection parfois envahissante. Son père, le Dr Adrien Proust, fils d'un commerçant d'Illiers (enEure-et-Loir), professeur à la Faculté de médecine de Paris après avoir commencé ses études au séminaire, est le premier grandhygiéniste français, conseiller du gouvernement pour la lutte contre les épidémies. Marcel est fragile et le printemps devient pour lui la plus pénible des saisons. Les pollens libérés par les fleurs dans les premiers beaux jours provoquent chez lui de violentes crises d'asthme. À neuf ans, alors qu'il rentre d'une promenade au Bois de Boulogne avec ses parents, il étouffe, sa respiration ne revient pas. Son père le voit mourir. Un ultime sursaut le sauve. Voilà maintenant la menace qui plane sur l'enfant, et sur l'homme plus tard : la mort peut le saisir dès le retour du printemps, à la fin d'une promenade, n'importe quand, si une crise d'asthme est trop forte.est baptisé à l'église Saint-Louis-d'Antin à Paris. Or la Commune fait rage à Paris en mai 1871. " Peu avant la naissance de Marcel Proust, pendant la Commune, le docteur Proust avait été blessé par la balle d'un insurgé, tandis qu'il rentrait de l'hôpital de la Charité. Madame Proust, enceinte, se remit difficilement de l'émotion qu'elle avait éprouvée en apprenant le danger auquel venait d'échapper son mari. L'enfant qu'elle mit au monde bientôt après, naquit si débile que son père craignit qu'il ne fût point viable. On l'entoura de soins; il donna les signes d'une intelligence et d'une sensibilité précoces, mais sa santé demeura délicate." Wikipedia.
Quelques citations de Proust


"Un changement dans le temps est suffisant pour recréer le monde et nous-mêmes. "
"Un milieu à la mode est celui dans lequel l'opinion de tout le monde est constitué de l'avis de tous les autres. A tous une opinion différente? Ensuite, c'est un milieu littéraire. "
"Une idée puissante communique certaines de ses forces à celui qui le défis. "

"Une seule femme aime rarement suffit pour tous nos besoins, afin que nous la tromper avec une autre dont nous n'aimons pas. "



 *Amanda Vitória~

terça-feira, 21 de junho de 2011

Émile Zola

Par Meriane NEVES
1840-1902
Né à Paris, d'une mère bourguignonne et d'un père italien, Émile Zola passe toute sa jeunesse à Aix-en-Provence, ville qu'il évoque dans son œuvre sous le nom de Plassans. Au collège de la ville, il fait la connaissance de Paul Cézanne, qui restera son ami durant de longues années, et de Baille, futur polytechnicien et astronome.
Le père, François Zola, qui travaille à Aix à la construction du canal qui portera plus tard son nom, meurt prématurément le 22 mars 1847. Ce décès met la famille dans une situation financière précaire et bouleverse le jeune Émile au point que son œuvre romanesque restituera plus tard la figure grandie de ce père tôt disparu, homme libéral, novateur, audacieux, bâtisseur (incarné par Octave Mouret dans Au Bonheur des Dames, ou encore par Saccard, le banquier de la Curée et de l'Argent).
Débuts dans le monde des lettres:

À partir de 1858, Zola s'établit à Paris; après deux échecs au baccalauréat « à cause du français », il mène une vie incertaine: « être pauvre à Paris, c'est être pauvre deux fois », dit le narrateur de la Curée. Il entre finalement aux éditions Hachette où il travaille, du 1er mars 1862 au 31 janvier 1866, comme commis puis comme chef de la publicité. Quand il s'attelle à son œuvre majeure, les Rougon-Macquart (le titre complet, les Rougon-Macquart, histoire naturelle et sociale d'une famille sous le second Empire, est un parfait résumé de son projet), Zola a ainsi acquis une longue pratique de l'écriture et une certaine familiarité avec les milieux intellectuels.
En 1867, il publie un roman, Thérèse Raquin, qui, sans en faire partie, annonce le cycle des Rougon-Macquart, tant par les sujets abordés (l'hérédité, la folie) que par les critiques qu'il suscite: la presse traite en effet l'auteur de « pornographe », d'« égoutier » ou encore de partisan de la « littérature putride ».

Le roman La Curée
A la fin d’une chasse, pendant la curée, les chiens dévorent les entrailles de la bête tuée. Pour le jeune Zola qui detéste son époque, c’est le cœur de Paris, entaillé par les larges avenues de Napoléon III, que des spéculateurs véreux s’arrachent. Ce deuxième volume des Rougon-Macquart, histoire anturelle et sociale d’une famille sous le Second Empire, est l’un des plus violents. Zola ne pardonne pas ces fortunes rapides qui inondent les allées du bois d’attelages élégants, de toilettes de Worms et de bijoux éclatants. Aristide Saccard a réussi. Mais tout s’est dénaturé autour de lui : son épouse, Renée, la femme qui se conduit en homme, si belle et désœuvrée ; son fils, Maxime, l’amant efféminé de sa belle-mère. On accusa Zola d’obscénité. Il répliqua : « Une société n’est forte que lorsqu’elle met la vérité sous la grande lumière du soleil. »